Atelier d'écriture séance 7

Le travail consistait à écrire un récit comique se terminant par une moralité sous la forme d'un proverbe bien connu mais modifié (soit en mélangeant 2 proverbes, soit en changeant un ou plusieurs mots, le tout produisant un effet drôle)



Un jour où je m’amusais dans le parc avec mes amis et mon chien, un vilain bandit a

kidnappé mon fidèle animal. Je n’ai rien vu, rien entendu et quand je m’en suis rendu compte, ils étaient déjà bien loin et moi bien triste.

Heureusement, aujourd’hui j’ai récupéré mon brave Milou, mais comment me direz-vous ?

Eh bien le bandit me l'a rapporté le soir même car mon chien n’a fait qu’aboyer, aboyer, aboyer, sans jamais se fatiguer toute la journée et

impossible de lui faire entendre raison…

Le bandit épuisé et presque sourd compris qu’il ne tirerait rien de ce maudit cabot donc il nous l’a ramené tout penaud.

Eh oui il ne savait pas que chien mal acquis ne profite jamais !

 

Emilie

 

 

 

Voici résumée l’histoire de la Mafia :

bien mal acquis en vaut deux

Ou

Les bons comptes ont toujours tort.

 

Mme Tissoux 

 

 

 

 

C’est l’histoire d’une personne qui avait faim. Malgré les bruits de la ville, ses pensées étaient rivées sur la nourriture. Elle passait dans les rues, discutait, mais avait toujours faim. Un jour, elle trouva des racines comestibles, mais elle ne pensait qu’à de la bonne nourriture. Dégoûtée de ce repas, elle le jeta et continua son chemin. Elle avait toujours faim, elle ne pensait qu’à ça la nourriture, la nourriture. Malgré ses trouvailles, son estomac ne se remplissait pas. Des personnes lui faisaient manger n’importe quoi, elle n’était jamais satisfaite. Tout à coup, un jeune homme lui dit de prendre son temps afin de profiter de saveurs du mets qu’il lui proposait, mais elle ne pensait qu’à manger et l’avala comme un enfant mange un bonbon…

 

Moralité : ventre affamé ne profite jamais !

 

Kelly 




 

Les gens ayant tout le temps faim n’écoutent point les autres, ils ne pensent qu’à manger, à sempiffrer. Puis ils deviennent costauds, trop costaud même, cest-à-dire gros ! Un jour, ces gens là seront tellement gros quils ne passeront plus par leurs portes. Les gens comme ça ne sont pas réfléchis, ils ne réfléchissent jamais à rien, ils ne pensent quà manger et comme le dit le proverbe, ventre affamé na point de cervelle !


Matthieu 

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